Euphémie ◊ La Rose Froide ◊ Sujet: Euphémie Valdheim. Sam 13 Juil - 17:16 Valdheim Euphémie
« Le meurtre est le seul loisir qui puisse se pratiquer partout, avec tout le monde, à toutes les saisons. Pas de barrière culturelle ou linguistique. » S URNOM : La Rose Froide ou l'Ombre.A GE : 19 ans.G ENRE : Femme.O RIENTATION : Bisexuelle.R ACE : Vethael.C ASTE : Haute-Noblesse.O RGANISATION : Vigilant.A LLIANCE : Impériale.M ÉTIER : Enfant-Divine.
Q UALITÉ
► Charmante ► Séductrice ► Combative ► Directe ► Intelligente ► Indépendante ► Vigilante ► SincèreD ÉFAUTS
► Agressive ► Arrogante ► Cruelle ► Froide ► Grossière ► Instable ► Lunatique ► Méchante ► Méprisante ► Violente ► Sadique
M AGIE
L'hypnose par le son de ma voix, voilà ce que j'utilise pour vous séduire et vous hypnotiser. Grâce à se don-ci, je peux vous faire faire ce dont j'ai envie, comme tuer quelqu'un, me donner du plaisir ou bien vous mettre à mon service. Je peux hypnotiser au maximum, cinq personne de cette manière sur un temps maximum de trois heures par jour. Dépassé ce temps-là provoquerais pour moi de violentes migraines, ou des écoulements de sang par la bouche, le nez, ou les yeux.
C APACITÉS
D ONS RACIAUX ● Don Racial : Perception extrasensorielle. ● Don Racial : Vision des Âmes. ● Don Racial : Œil de vérité.
A UTRES
Je possède toujours sur moi, dissimulées au niveau du bas de dos et à la cuisse intérieure droite, deux poignards. Mes deux armes sont faites d'argents, les pommeaux étant sertit de petits joyaux de multiples couleurs. Dans mes parties intégrantes de mes tenues, comme des coutures ou des ornements, se trouvent des épines longues d'environs dix centimètres, chacune étant recouvertes d'un poison paralysant pendant une dizaine de secondes. Il me suffit simplement de les prendre entre mon majeur et mon index, et de les lancer sur mes adversaires.
Caractère
Je me laissai tomber à genoux sur le sol, devant le lac, et me penchai en avant, afin de voir mon reflet dans l'eau. Qui regardai-je dans l'eau ? L'image que l'eau m'envoyait représentait une jeune fille froide, et cruelle. Une jeune fille qui n'hésite pas à se salir les mains de sang pour son bon plaisir. Son plaisir sanglant était apparut quand elle eu dans les 50 ans d'existence, pour des raisons inconnus, elle était devenu violente. Je continuai de regarder la jeune fille que je voyais dans l'eau. Renvoyait-elle vraiment mon image ? Suis-je vraiment cette jeune fille que tout le monde craint ? Qui inspire la crainte et qui aime tuer ? Je ne pensais pas être cette jeune fille, pourtant, je suis sympathique, ou presque, avec les autres, sincère.. Comment se fait-il que j'ai pu sombrer aussi facilement dans l’agressivité, dans la violence, dans la rancune.. C'est vrai qu'en y repensant, je n'ai jamais vraiment étais proche des autres. Je suis généralement seule, et ne parle à personne. Je suis renfermée dans une petite bulle d'égoïsme en marmonnant des paroles absurdes sur des meurtres à faire, des tortures à exécuter.. Car au fond, elle aime sa, faire souffrir les gens.. Sous ses airs froids, sans cœur et sans émotions se cache une jeune Euphémie plus ou moins sensible, mais il faut vraiment creuser pour trouver sa part de sensibilité.Physique
Comme chaque matin, je dû me rendre devant l'imposant miroir se trouvant à côté de la coiffeuse où se trouvai d'innombrables produits d'entretiens pour mon corps, un nombre incalculable de brosses à cheveux et de peignes, ainsi qu'un pot où des fleurs aux pétales d'un blancs et d'un noirs immaculés reposaient pour donner un peu de senteur dans cette chambre froide et dépourvu de couleur. Je me regardai dans ce miroir qui me reflétai l'image d'une jeune fille de dix-sept ou dix-huit ans. Cette même jeune fille qui, aux yeux des autres, était froide, sans cœur et barbare. Soupirant, je levai mon regard vers le haut due la silhouette, vers ces yeux d'un bleu anormalement clair et luisant, dépourvu de pupilles. Ce regard que tout le monde disait froid et inquiétant mais qui pour moi, était tout à fait banal. Mon regard coula un peu autour de ces yeux envoûtant, pour découvrir des cils et des sourcils d'un magnifique blanc qui faisait plus ressortir mes yeux. En regardant bien, la couleur de mes cils et sourcils étaient de la même couleur que celle de mes cheveux. D'un blanc immaculé comme la neige, c'est dernier descendaient en cascade raide dans mon dos, pour s'arrêter en bas de mon dos. Reportant mon regard vers mon visage, je remarquai également que mes cheveux formaient comme un cadre autour de mes yeux. Assez parlé des yeux, je continuai ma lente progression du regard pour aboutir sur le nez fin et mignon qui trônait au milieu de mon visage. Je le fis un petit peu bouger de droite à gauche, ce qui eus pour effet de me faire esquisser un petit sourire en coin. Ce sourire charmeur que j'adorai tant, qui étirait doucement mes lèvres pulpeuses, brillantes et d'un rouge vif qui laissaient entre voir des dents d'un blanc tout aussi immaculé que mes cheveux, et qui ressortait magnifiquement sur ma peau de porcelaine. Il suffit du visage, je passai mon regard vers le reste de mon corps. Ce corps qui attirait les convoitise de beaucoup d'hommes malgré son jeune âge. Celui-ci était tout simplement recouvert d'une légère nuisette blanche à dentelle noire, faite de bretelles qui reposaient sur mes épaules, descendant gracieusement au milieu de mes cuisses. Malgré la nuisette, nous pouvions toujours apercevoir la taille fine que j'arborai et de la poitrine plutôt généreuse pour mon gabarie dont j'avais eu don. Je relevai le bas de ma nuisette, pour la déposer sur le haut de mon ventre, découvrant un ventre assez plat, d'une profonde douceur et d'une blancheur presque cadavérique. Je descendis ensuite mon regard vers mon bas de ventre où se trouvait des hanches pas trop apparentes et une petit culotte assortit à ma tenue cachant mon intimité ! Toujours en laissant tomber mon regard vers le bas, je décrivais mes jambes longues, fines et impeccable. Je me tournai doucement, afin d'être dos au miroir mais tout de même afin de pouvoir apercevoir mon dos en tournant la tête. Je relâchai le bas de ma nuisette qui retomba sur mes cuisses et fit passer mes longs cheveux d'un geste de main sur mon épaule droite. Je regardai la marque que j'avais depuis ma naissance, celle qui certifiait que j'étais une fille de Telara. Elle ressemblait à une fleur fanée, plus foncé que le reste de ma peau. Je soupirai de nouveau, remettant mes cheveux à mon dos, et partit dans la salle de bains.Histoire
Prologue
Depuis son enfance, Euphémie est une petite fille délaissée, même si sa famille cache son sentiment de rejet envers elle au maximum, depuis sa naissance. A vrai dire, étant une Vethael, son père a trompé sa « mère », qui est sa belle-mère en fin de compte, avec la déesse Telara. Il va s'en dire que sa belle-mère fut complètement jalouse de savoir que son homme eu couché avec la Déesse et que les deux individus avaient engendrés une progéniture Vethael, mais c'était inévitable. Mais Arrava, la belle-mère, dû se rendre à l'évidence, rejeter le bambin que Telara avait mis au monde avec Asith, son père, aurait provoqué la colère de la Déesse et un mauvais point pour la famille Valdheim au près de cette dernière. Dernière option d'Arrava, s'occuper de la petite Vethael comme si elle était sa fille, ce qui serait une dur épreuve pour elle qui avait souvent l'envie de l'égorger.Chapitre 1 : Une enfance délaissée
Je me trouvais toute seule dans ma chambre, à jouer à la poupée. Je buvais le thé avec Madame Suzette, qui était une poupée de chiffons basique avec des cheveux de laines violettes, ainsi qu'avec Monsieur Crapaud, qui logiquement, est un gros crapaud avec un chapeau haut-de-forme sur la tête. Elle s'assit sur le sol, les coudes sur la petite table blanche où reposait de la vaisselle pour enfants, et le menton sur ses poings. Elle soupira. Cela faisait bien vingt minutes qu'elle attendait sa grande-sœur Sabrë, elle lui avait promis de venir jouer avec elle. Euphémie se releva sans oublier de prendre sa Madame Suzette d'une main, et partit retrouver Sabrë. Elle se dirigea vers la chambre en face de la sienne, qui appartenait auparavant à Sabrë qui était devenu l'Impératrice depuis une dizaine d'année., et l'ouvrit en parlant de façon forte : - « Sabrë ? » Elle n'était pas là. Seule une pièce vide, richement décorée de joyaux et d'or, où trônait un immense lit à baldaquin en face de la porte et une cheminée où un petit feu doux manquait, laissant la pièce froide et sinistre, se trouvais ici. Certes, Sabrë ne vivait plus ici, mais elle venait de temps en temps ici pour dormir dans les draps de sa sœur, et sentir son odeur pour se calmer. Un nouveau soupire s'échappa d'entre ses lèvres tandis qu'elle refermait la porte pour aller vers la pièce central de la demeure de sa famille, là où se retrouvait, généralement, tout le monde. Bien évidemment, elle y trouva sa chère sœur entourée de toute la famille et de son époux, l'Empereur Hiril Orsala. Cette homme ne lui disait rien qui vaille. Il avait une expression sévère, méchante, démoniaque.. La petite Euphémie traversa la petite foule, passant entre deux personnes, ou en contournant d'autres, mais elle était déterminée à jouer avec Sabrë. Il ne lui fallut guère beaucoup de temps pour fendre la foule, elle se trouvait déjà devant sa grande-sœur. D'une main assurée, elle lui tira doucement la manche de sa robe pour attirer son attention. - « Sabrë.. Tu avais dis que tu viendrais jouer avec moi.. » Sabrë et les autres convives s'arrêtèrent tous de parler pour diriger leurs regards vers la petite effrontée qui avait osée interrompre une conversation entre les deux Impériaux. Mais l'Impératrice Sabrë lui offrit son habituelle petit sourire tendre, même si elle y repéra une petite touche de regret, et s'accroupit face à Euphémie avant de lui répondre de sa voix calme et douce : - « Je suis navré Euphémie.. Je voulais venir jouer avec toi, mais je suis occupée avec la famille.. Je viendrais jouer avec toi une prochaine fois, d'accord ? » La petite fille sentit les larmes lui monter aux yeux alors qu'elle baissait les yeux vers le sol. Elle entendit bien les petits rires des hommes et les gloussements des femmes présentes dans la salle. Voyant qu'Euphémie pleurait, Sabrë tenta de la calmer en lui caressant le dos, ou la tête.. Mais Euphémie repoussa Sabrë de ses mains avant de crier en pleurant : - « De toute façon, c'est toujours pareille avec toi ! Tu peux jamais jouer avec moi car tu es toujours occupée ! » Il est inutile de dire que toute l'assemblé présente fut choquée de la façon dont elle venait de s'adresser à l'Impératrice, mais personne ne dit rien. La petite Vethael partit en courant en fendant la foule comme elle l'avait fait pour entrer sans s'arrêter de pleurer, mais sur son chemin, Arrava la pris par le bras et la plaça de façon brutale face à elle. - « Arrête un peu tes caprices d'enfants Euphémie ! Tu dois parler gentiment à Sabrë non seulement car c'est ta sœur, mais aussi l'Impératrice ! » dit-elle en lui mettant une gifle monumentale qui laissera sûrement une belle trace de doigts sur sa joue durant quelques jours. Euphémie se dégagea de l'emprise de sa belle-mère pour courir se réfugier contre sa tante, Silhissa, qui avait fait l'honneur d'être présente aujourd'hui. Elle pleura autant qu'il lui était possible contre sa tante qui lui passait une main calme et rassurante dans le dos. Une dizaine de minutes passèrent ainsi, tandis que les adultes s'échangèrent des messes-basses au sujet de la petite Euphémie. Mais Silhissa ne s'arrêta pas pour autant de murmurer à la petite fille de se calmer, d'arrêter de pleurer. Elle se mit également accroupit, pris le visage de sa nièce d'une main douce et lui souris. - « Si tu arrête de pleurer, je viens jouer avec toi à la poupée. D'accord ? » avait-elle dis, puis elle reprit en relevant le visage vers Arrava. « Ça ne sert à rien de frapper cette petite pour qu'elle vous écoute, vous attirez négativement la Déesse vers notre famille, et si notre famille tombe en ruine, ce sera bien de votre faute. » La joie et l'excitation apparurent en un éclair sur le visage d'Euphémie. Elle pris Silhissa par la main et la tira vers sa chambre en lui disant ce qu'elle voulait faire avec elle. Boire le thé avec ses amis les peluches, jouer dans les arbres, et tout sa.. Mais en sortant de la pièce, elle pu remarquer que toute les attentions étaient retournées vers sa chère sœur aimée de tous, mais repartit heureuse de pouvoir aller jouer avec sa tante.~~~~~~~~~~~~
Aujourd'hui, elle avait décidée d'aller cueillir des fleurs pour Sabrë, même si elle c'était un peu engueulée avec elle il y avait quelques jours quand il y avait presque toute la famille de présente. Elle prenait différente fleurs, des rouges, des bleus, des blanches, mais ensemble qui donnait une magnifique explosion de couleurs. Mais durant sa petite cueillette, elle entendis des petits gémissements, des bruits de métal qui s'entre choquent. Elle était intriguée par ces bruits qu'elle n'entendait jamais dans le jardin, alors, elle se dirigea vers l'origine de ses bruits, débouchant rapidement sur un petit coin dégagé où se trouvait Silhissa et Sabrë en train de se battre. Sûrement un des entraînements de sa sœur. Elle se cacha derrière un arbre, regardant les deux femmes se battre. Elle pouvait presque ressentir les efforts fournis par sa sœur qui avait plus de mal à se battre contre sa tante. Euphémie tandis l'oreille vers la conversation des deux femmes, entendant son prénoms dans leurs paroles. - « Vous saviez ma tante qu'Euphémie vous en veut de l'avoir destinée à être Divine ? » dit-elle entre deux coups de lames. Alors qu'elle assénait un violent coup de pommeau vers la droite de sa nièce, Silhissa lui répondit : - « Pourquoi m'en veut-elle ? Être chez les Vigilants doit être un honneur pour elle. » Durant quelques instants les échanges de paroles s'arrêtèrent, elles étaient trop concentrées sur leurs combats pour répondre. Mais Sabrë rompit le silence. - « Elle n'aime pas la religion. Cela dit, elle est assez agaçante avec ses caprices, elle veut toujours être avec moi pour jouer. Il faut qu'elle comprenne que j'ai autre chose à faire. » Ces paroles firent l'effet d'une lame dans la poitrine d'Euphémie. Comment pouvait-elle parler ainsi de sa sœur ? Elle qui faisait son possible pour être gentille avec elle en lui offrant des cadeaux.. Elle ne voulait plus rien entendre, d'autant plus que Silhissa ne répondait pas à ce qu'avait dis sa sœur. Elle serra le poing où se trouvait les fleurs qu'elle souhaitait offrir à Sabrë, et les laissa tomber par terre en partant se réfugier pour pleurer dans sa chambre.Chapitre 2 : Intégration au Temple
Aujourd'hui était un jour tout à fait banale pour Euphémie. Ce matin là, elle se trouvait devant son miroir à coiffer sa longue chevelure blanche, elle regardait cette longue chevelure soyeuse que certaine femmes jalousaient mais qui n'avaient jamais osées dire ne serait-ce qu'une quelconque bêtises à son égards. Mais soudain, elle eut un sentiment de malaise, comme si quelqu'un l'observait tapis dans l'ombre. Se sentant mal à l'aise, elle déposa sa brosse sur la coiffeuse et releva son regard vers le miroir. Le miroir où d'habitude elle ne voyait que son reflet. Mais à cet instant précis, elle ne se voyait pas qu'elle, mais elle voyait également une magnifique femme entourée d'un halo divin.. La Déesse Telara. Surprise et fascinée elle se releva, et se mit à genoux devant la déesse qui était aussi sa mère. D'un simple geste de main, sa véritable mère lui signala qu'elle pouvait se relever, c'est ce qu'elle fit évidement. - « Que.. Que faites-vous ici ?.. » balbutie t-elle. - « Tu peux m'appeler Mère, Euphémie.. Je te regarde depuis ta naissance, tout comme je regarde tes frères et sœurs.. Et je me suis aperçus que tu serais tout à fait à ta place en tant qu'enfant-Divine héritière de Narë Calir. » lui répondit Telara. Ce serait inutile de dire qu'Euphémie était surprise de ce que la déesse venait de lui dire. Elle ne savait pas quoi répondre, et la Déesse dû sentir son malaise car elle se mit à rire d'un son cristallin et doux pour les oreilles avant de reprendre : - « Je m'en vais désormais Euphémie.. Je te laisse les soins de te rendre chez les vigilants. » Et sur ces mots, elle disparût. La Vethael se retrouvait là, au milieu de la place, fixant toujours l'endroit où se trouvait la Déesse il y a quelques secondes. Elle reprit rapidement conscience de la situation actuelle alors, elle partit retrouver toute sa famille. Quand elle les vit, elle leurs raconta tout ce qui c'était passé. Ils en furent quelques peu septique au débuts, mais par chance, ils la crurent et décidèrent que Silhissa devait l'emmener chez les Vigilants pour leurs raconter cette même histoire. Les Vigilants également ont facilement cru l'histoire qu'Euphémie et Silhissa leurs raconta et après murent réflexion entre eux, ce qui dura bien plusieurs heures, mais ils revinrent les voir après avoir réfléchis. - « Après mûres réflexions, nous avons décidés de vous croire. Ne sommes heureux d’accueillir une charmante Vethael dans nos rangs et encore plus ravis de la savoir enfant-Divine. » Tous échangèrent une poignée de mains et des sourires entendu. Silhissa repartit dans leurs demeures, tandis qu'Euphémie restait avec les Vigilants afin d'être initiés et d'apprendre tout ce qu'il y a à apprendre. Le reste de l'histoire d'Euphémie n'étant pas vraiment intéressant, rien d'autre n'est écrit.Ilumèn
S URNOM : Lum.
 GE : 103 ans.
G ENRE : Mâle.
R ACE : Loup Noir.
M AGIE Ilumèn est capable de disparaître dans des zones d'ombres, ce qui est plutôt efficace pour la chasse. Cependant, si quelqu'un se trouve sur son dos, la personne ne disparaîtra pas avec lui.. Il flottera dans les airs en quelques sortes. Il peut faire ceci pendant une dizaine d'affilés mais dépassé ce délais, cela provoquera une énorme migraine pour lui et pour Euphémie.
D ESCRIPTION
Physiquement, Ilumèn ressemble à peu près à un loup basique. Mais évidemment, il n'est pas comme un loup normal. Tout d'abord, par sa taille, il est à peu près comme un poney. Mais en moins sympathique. Sa fourrure est plus noir que la nuit avec des reflets bleutés, un peu comme les yeux d'Euphémie, et au niveau de sa têtes et du haut de son dos, la fourrure y est plus épaisse que le reste de son corps. Sa queue est également très grande, quand il marche, celle-ci touche le sol. Ses yeux, quand à eux, ils sont totalement bleu, dénués de pupilles. Dessous ses yeux se trouvent deux bandes du même bleu que ses yeux. Pour ce qui est de sa gueule, elle est tout a fait basique, avec deux grandes canines descendant de part et d'autre de sa mâchoire inférieure. Ses griffes, quand il les sort, sont très longues. Non pas que sa maîtresse ne s'en occupe pas ! C'est juste que sa race est ainsi, et qu'il est très difficile des les couper. Mentalement, Ilumèn est un long basique. Il est assez dangereux, surtout quand on agresse Euphémie qui est sa maîtresse depuis sa naissance, mais il peut être affectif lorsqu'on est gentil avec sa maîtresse ! Il pense beaucoup à la nourriture, car il a très faim, mais ceci, c'est comme tout les loups je pense.
Derrière l’Écran...
C ODE : Ok by Silhe' P RÉSENCE SUR LE FORUM (SUR 7 JOURS) ? : En vacance, si je ne part pas, je pense être là tout les jours. Sinon, en période scolaire, ce sera que le soir sauf le week-end qui sera tout les jours, et le mercredi que l'après-midi ( Normalement . )C OMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? : Sur un partenariat d'un forum.A UTRE CHOSE A DIRE ? : Rien à dire à part que le forum est juste trop magnifique *-*
Dernière édition par Euphémie le Dim 14 Juil - 20:25, édité 1 fois