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Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine...

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AuteurMessage
Ehldünaa
Sang de Telara

XP : 48


Journal Personnel
Alliance : Impériale
Capacités & Magie :
Relation :



Ehldünaa◊ Sang de Telara ◊


Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Empty
MessageSujet: Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Icon_minitimeVen 31 Mai - 22:46




Ce que je suis...



Ehldünaa, nul autre nom ne me fut donné.

« Quelle est notre douleur ? Mais qu'elle est-elle ? Nous la chantons, mais personne ne l'entend. Nous la murmurons, et le silence est la seule réponse... »




SURNOM : "Douce", "Créature"... Ainsi nous appelait-il. Nous frissonnons encore à ces mots.
AGE : Nous ne le savons pas...
GENRE : Femme.
ORIENTATION : Non définie.
RACE : Ath.

CASTE : Ancienne Esclave, désormais Vigilante.
ORGANISATION : Vigilante.
ALLIANCE : Impériale.
MÉTIER : Prêtresse, elle chante les préceptes de Telara au sein du Temple, et soigne les blessés et les malades qui s'y présentent.

QUALITÉS


¤ Éternelle douceur ¤ Sensuel ¤ Humble ¤ Directe ¤ Passionnée ¤ Indépendante ¤ etc...


DÉFAUTS


¤ Tactile ¤ Cruelle ¤ Incrédule ¤ Méfiante ¤ Sans manières ¤ etc...


MAGIE


Ehldünaa a une capacité d'influence sur autrui. Le vecteur de son pouvoir est sa voix. Par le chant ou une simple parole, elle influence ainsi vos émotions, vous apaisant, vous rendant chagrin, ou encore vous rendant... Émoustillé, et donc d'autant plus sensible à son charme. Néanmoins, ce pouvoir ne s'applique que dans le cas où elle a un parfait contrôle d'elle-même. Qu'elle soit en pleine débâcle émotionnelle, et en ce cas, le résultant ira dans les extrémités. Enragé, désespéré, terrorisé... Les variables sont aussi nombreuse que les émotions sont diverses.

Cette capacité se renforce quand elle a un contact physique avec une personne. A cela s'ajoute qu'elle peut alors "murmurer" à cet esprit, bien que cette variante ne soit guère forte. Ainsi, seuls quelques mots seront compris de tout ce qu'elle tentera de vous "chuchoter". Telara seule décidera si la personne saisira le plus important ou non.



CAPACITÉS


DONS RACIAUX

  • Don Racial : Fluides (salive, sang, larme...) curatifs (confère une importante résistance à la Dyfanae).
  • Don Racial : Vitesse de mouvement et souplesse importantes.

AUTRES


Il est une chose... Ehldünaa ne sait exprimer sa douleur, ou un quelconque mal-être. Ainsi, ne lui viendra aux lèvres qu'un soupir d'apparent plaisir alors que sa chair sera meurtrie, ou son être malmené. Ses larmes seules en sont la pure expression.


CARACTÈRE


Au premier abord, Ehldünna séduira par sa voix toujours douce, dont le timbre n'exprimera jamais ni colère, ni douleur, ni peur. Mais bien vite il apparaîtra qu'elle peut aisément n'avoir que faire de son interlocuteur. Quoique, même dans ce cas-la, elle glissera sans retenue dans l'espace personnel de l'individu, et s'il ne l'en empêche pas vite, elle l'enlacera d'une manière qui semblera à la plupart "intime". Pourtant il n'en est rien. Ainsi est Ehldünaa, et elle pourra très bien tenir des propos froids tout en étant à quelques centimètres de vous, d'une voix veloutée comme du petit lait. Si elle pourra donner une impression d'arrogance, cela ne sera dû qu'à sa méfiance à votre égard.



PHYSIQUE


Quelques éléments donnent à cette Ath l'apparence d'une femme : son visage fin, aux yeux d'ambre, mais comparable à celui d'un Panael; la crinière rougeoyante qui lui descend jusqu'en bas des reins, volumineuses, couvrant son cou, ses épaule et son dos; ses charmes incontestablement féminins; son ventre plat... Néanmoins, on trouve des proportions anormales, le cou est bien trop étiré, de même que le buste... La peau visible du haut de son corps est lisse, mais ses épaules, couvertes le métal chauffé à blanc de sa chevelure, le sont aussi d'écailles... Comme la partie basse de son corps.

Là où on penserait trouver une hanche, puis le haut d'une cuisse, il n'y que des écailles, dont la teinte rappelle celle d'un sombre bosquet. Un corps longiligne et musculeux, de plusieurs mètres de long, dont la moindre courbe brille discrètement sous l'effet de la lumière...

Cette "coupure" au niveau du bassin offre un singulier contraste, aussi bien quant à l'apparence qu'à ses forces même. En effet, si Ehldünaa peut broyer dans ses anneaux un homme, le haut de son corps a la force d'une femme, que l'homme en question pourrait sans doute maîtriser... S'il parvient à échapper à sa douloureuse étreinte.

Sur demande des prêtres, elle va, désormais, la poitrine couverte d'un voile rouge.

Une dernière chose : cette Ath a deux coeurs, l'un à côté de l'autre.




HISTOIRE


Nous naquîmes nombreux. Nous extrayant d’œufs, créatures informes, tordues, couvertes d'écailles et de crêtes. Certains d'entre nous n'étaient pas achevés, pas prêts à vivre. Ils moururent dans des gémissements pathétiques... Et ses hurlements à lui. Car il n'y eut pas de mère, ou de parent, pour nous. Rien qu'un individu qui ne nous ressemblait en rien. Trop parfait, trop magnifique pour les horreurs que nous étions. Alors que nous nous débattions encore dans les filins qui nous rattachaient à nos coquilles, il nous invectivait, furieux devant ce résultat loin de ses attentes. Nous ne savions pas ce qu'il attendait de nous, nous ne percevions que son mécontentement. Et celui-ci ne fit que s’accroître alors qu'un concert de plainte s'élevait de la misérable assemblée d'êtres sans nom, dont certains individus agonisaient déjà dans la chiche lumière de la salle sombre.

¤¤¤¤¤

"Douce, ton nom est Ehldünaa..."

Nous l'observions sans un mot, mes deux sœurs et moi. Moi, mon long corps lisse enroulé avec soins autour de nôtre maître, elles deux glissant doucement dans le bassin, dans l'attente de ses demandes. Nous avions survécu, là où tous les autres étaient morts, leur organisme ne supportant pas le traitement magique de notre créateur. Celui-ci avait tenu à faire de nous quelque chose autre qu'une débâcle de bêtes informes, et nous avait remodelés, pulsion de magie après l'autre, façonnant ces chairs hideuses mais malléables. Des coeurs n'avaient pas tenu. La douleur avait rendu fous d'autres. De ces innombrables tentatives, de ces régulières marées de douleur, il n'était resté que nous. Trois êtres, possédant le haut du corps d'une femme, mais au reste serpentin. Et nous étions siennes. Nous ne connaissions que cela.

Le dominant de deux bonnes têtes, je n'en étais pas moins à sa merci, alors qu'il me tenait avec une fermeté délicieuse le visage penché vers le sien, que je contemplais avec adoration. Un frisson me parcourut, alors que je percevais sa soudaine colère, sous la forme d'une pression douloureuse au niveau de mon menton.

"Ton nom, ton nom Ehldünaa...
- Nous vous écoutons, Maître...
- CESSE !
L'ordre claqua dans l'air, comme le firent les corps de mes soeurs dans l'eau, signe de leur tension, que je partageais. Nul "Nous", Créature. Tu es Ehldüniaa, tel est le nom que je te donne, et que tu porteras."

L'inquiétude de lui déplaire me fit vivement acquiescer, malgré que je ne comprîmes pas que cela le fâchât. Nous étions, car nous avions consciences les unes des autres. Nos esprits murmuraient continuellement, guère de mots, juste des impressions, des ombres de sentiments, de sensations, mais cela suffisait. "Nous" étions, dans des corps séparés, mais "nous" étions. Mais notre créateur ne le voulait pas. Il n'y pouvait rien pourtant...

"Oui... Je suis Ehldünaa."

La satisfaction que je lui vis m'emplit de joie, et sa prise se défaisant, je l'enlaçais, le touchant, le caressant. Nos corps n'étaient que caresses pour lui, de même que nos voix. Quand l'existence au dehors nous le renvoyait contrarié, nous le bercions de nos murmures, et satisfaisions de notre mieux ses envies, qui étaient devenues les nôtres. Toucher, enlacer, rassurer, embrasser... Et souffrir. Quand nos attentions ne l’apaisaient pas tout à fait, il pouvait user de ses poings s'il n'avait qu'eux, ou d'une lame qu'il avait emmené afin de prélever mon sang. Comme nos premières plaintes lui avaient déplu, il nous avait interdit de hurler. Comme la vision de la douleur sur notre physionomie l'exaspérait, nous ne l'exprimions plus. Nous étions malléables, et il était le seul être que nous connaissions. Il nous était précieux, tandis que nous, nous étions ses créations. Possessions... Et puis, une fois qu'il s'en était allé, nous nous serrions les unes contre les autres, pour panser avec douceur nos plaies. Mon Don nous était alors précieux. Je pris un infime instant, le tirant du refuge de la cascade ardente qui couvrait le haut de mon corps, pour murmurer :

"Et mes soeurs... ?"
- Plus tard, Douce..."


Je me tus et ne demandais plus, alors qu'il baissait la tête. A son baiser, nous frissonnâmes à l'unisson.

¤¤¤¤¤

Nous n'étions pas à l'attendre cette fois la. Faible, frémissais à peine sur le sol de pierre, alors que ma soeur s'était affaissée sur le rebord du bassin. Nos yeux se révulsaient, et nos bouches tentaient désespérément d'aspirer de l'air. Pourtant il ne nous voyait nulles blessures. Mais ce qui l'alarma, fut l'absence de notre soeur. Nous ne parvînmes pas à lui dire où elle était. Nos cœurs étaient trop paniqués, des larmes dévalaient nos joues, nous nous arquions sans cesse... Là là, Maître, elle est là... Mais il ne pouvait nous entendre... Puis soudain, nous nous affaissâmes, cessant de lutter contre ce qui nous étouffait. Nous ne prononçâmes pas un mot, car il l'avait vu. Le grillage, qui scellait le boyau par où était évacuée l'eau... Usé par le temps, il avait été aisé de l'en arracher... Et notre soeur s'y était perdu.

Froid, il nous l'indiqua, avant d'ordonner. "Que l'une d'entre vous la ramène." Ma soeur n'en fit rien, sortant au contraire fébrilement du bassin, venant m'enlaçer, alors que je lui rendais son étreinte. Nous ne voulions pas y aller. La sensation était encore trop vivace. Celle de l'eau emplissant notre gorge et nos poumons, jusqu'à que ceux-ci semblent vouloir exploser...

Il n'eut qu'à élever à voix. Cela suffit. Notre réticence diminua, et ma soeur quitta mes bras. Alors qu'elle s'enfonçait dans le boyau, je fus avec elle, ressentant son appréhension, la sensation du liquide froid se refermant sur nous... Je respirais avec anxiété, malgré qu'un faible sourire soit venu défigurer mes traits. Nulle grimace. Sourire pour le plaisir. Sourire pour la douleur. Notre Maître m'observait, mais en cet indicible instant, mon attention était toute entière tournée vers ma sœur. J'enfouis mon visage dans mes mains, alors que je ressentais son chagrin. Elle l'avait trouvé.

Il nous fallut deux allez-retour, où nous nous relayâmes, car ce qui avait coûté la vie à notre semblable, était que le boyau était trop long, et notre capacité respiratoire insuffisante pour tenir aussi longtemps. Bien que le corps eut été poussé par l'infime courant, qu'elle eut tenté de nous revenir l'avait ramené à notre portée. Mais cela nécessita de nombreux efforts pour tirer sa masse, la sortir de ce piège infâme. Notre Maître nous laissait faire sans mot dire. Mais la colère tendait chaque parcelle de son corps.

Flasque. Les traits tordus d'une manière hideuse, vestige de sa panique au moment de sa mort. C'est la dernière vision que nous eûmes d'elle. Nous ne pûmes la pleurer longtemps. Sa mort provoqua chez notre Maître une rage sans nom. Quand nous tentâmes de le toucher pour l'apaiser, il nous repoussa de sa lame, tailladant nos mains tendues, refusant nos sourires soumis, nos promesses de caresse. Il ne fut calmer qu'en voyant davantage de notre sang couler. Le corps de notre soeur nous fut retiré dans notre sommeil. Le bassin fut vidé, et comblé.

¤¤¤¤¤

La créature hurlait. Coincé dans sa cage, elle ne nous lâchait pas de ses yeux, qu'elle avait exorbités et injectés de sang. Le reste pouvait être résumé en un mot : abomination. Des membres tordus à la peau rongée, armées de griffes effilées ; un dos gonflés de bosses hideuses... Informe, semblable à ce que nous étions lors de notre "naissance", ceci près que la rage l'habitait. L'envie de nous déchiqueter, qui nous parvenait par vagues malsaines. Et notre Maître nous souriait.

Il ordonna, et nous ne résistâmes pas. Je restais figée, muette, alors que ma soeur glissait docilement vers lui. Je voyais sa main trembler alors qu'elle la lui tendait. La félicitant, il la tira vers lui, et porta son bras à portée des barreaux. La créature s'en saisit avidement, y plantant ses griffes. Maintenue par la prise de notre Maître, ma soeur ne put que lâcher un intense soupir, saccadé, tandis que je me laissais tomber au sol, me recroquevillant autour de l'un de mes bras. Mon corps entier s'arqua, un cri de plénitude s'échappant de ma gorge alors que je pleurais, quand les dents de l'animal se plantèrent dans la chair.

¤¤¤¤¤

"Bien que tu ne le comprennes pas, les vertus de ton sang sont prodigieuses, Douce. Bon nombre de mes blessures ont guéris en moins d'une journée, sans laisser de cicatrices. Et j'ai pu observé qu'il en allait de même avec tes soeurs, quand tu léchais leurs plaies, ou les tiennes... Crois-tu que je t'aurais laissé agir ainsi, sinon ? Néanmoins, j'espérais de meilleurs résultats vis-à-vis de ce cas-ci. Mais il me semble décevant."

Je l'écoutais. Le dévorais des yeux. Des semaines depuis la morsure. Des semaines de faiblesse, puis d'une soudaine souffrance, avant que les murmures alarmées de ma dernière soeur ne se transforment en cris de rage. Que notre Maître avait fait taire. Sa dague était bien enfoncée, là, dans la gorge du corps encore chaud. "Nous" n'étions plus. Il n'y avait que moi. Moi, et ce Maître qui nous avait tué.

"Mais tu restes unique, Ehldünaa, n'ais crainte. Tu m'es toujours précieuse..."

Il ne vit rien que sa "précieuse" créature qui venait chercher consolation auprès de lui, l'entourant de ses anneaux, caressant son visage... Il posa sa tête sur ma poitrine. Dernière fois. Son regard fut surpris alors que je le tenais soudain à bout de bras. Puis le lâchais. Mes anneaux enroulés autour de lui, montant. Il m'ordonna d'arrêter. Hurla de rage. Puis hoqueta. Mon sourire ne défaillit jamais, alors que que je l'enlaçais, l'enserrait, serrant... Son si beau visage fut défiguré par cette morte. Toute mon adoration n'était plus. Consumée. N'en restait que haine à son encontre. Sa douleur m'avait empli d'une joie sans nom...

"Nous" n'étions plus, mais je n'oubliais pas. "Nous" serions, dans un unique corps, avec nos souvenirs. Je pris la fuite, traversant la demeure sombre, m'enfonçant dans les ruelles proches. Je ne connaissais rien, ne m'arrêtait pas au moindre cris que mon passage suscitait. Je recherchais juste un endroit sombre, où nul ne viendrait perturber mes larmes, et voir mon sourire mensonger.

¤¤¤¤¤

Perdues dans ce monde, sans créateur ni maître, nous nous dédiâmes à la déité Telara. Nous vénérâmes la Colombe pour la douceur passée de nos sœurs, mais ne savons encore si la mort de notre Maître a plu au Paon ou au Vautour... Comment nous arrivâmes là, chantant dans le Temple de la Déesse, offrant nos larmes et notre sang à ceux qui en avait besoin ? Nous errâmes. Tentant de comprendre ce qui nous entourait par les quelques paroles glanées. Mais cela était si peu de chose... On tenta de nous arrêter. Qu'est-ce qu'une "Ath" faisait ainsi, dévêtue, sans Maître ? Nous fuîmes, et trouvâmes refuge dans le Temple. Un chant fut interrompu par notre venue. En désespoir de cause, nous le reprîmes, charmant sans le savoir l'assemblée. Les Gardes ne purent nous faire sortir. Nous restâmes au Temple.

Nous n'étions plus la créature de qui que ce soit.







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Dernière édition par Ehldünaa le Sam 1 Juin - 16:47, édité 2 fois
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Silhissa
Sombre Rose

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MessageSujet: Re: Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Icon_minitimeSam 1 Juin - 16:16

Un seul mot : j'ad-o-re !!!

Une plume superbe, des scènes qui le sont tout autant et des personnages vivants, on a l'impression que ça se déroule sous nos yeux ^^


Je ne peux que donner ma voix !!!


Plus qu'à attendre l'avis d'un autre membre du staff et ce sera tout bon ;)


Moi j'suis fan XD
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Kaolia Novaeth
Oracle Rebelle

XP : 49


Journal Personnel
Alliance : Neutre
Capacités & Magie :
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Kaolia Novaeth◊ Oracle Rebelle ◊


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MessageSujet: Re: Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Icon_minitimeSam 1 Juin - 16:51

Eh ben, ma chère Ehldünaa, j'ai le plaisir de t'annoncer que je partage l'avis de notre fonda et te valide :D

"30" XP offerts

Tu peux donc aller demander un Rang personnalisé ici ainsi que faire une demande de RP ou répondre à l'une d'elle en ces lieux, sans oublier de remplir ton Journal Personnel que tu trouveras dans ton Profil.
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MessageSujet: Re: Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Ehldünaa, qui ne sait plus que soupirer avec douceur, pour sa joie, pour sa haine... Icon_minitime

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